La femme de Gangnam

Notre dernière traduction vient de paraître chez Decrescenzo Éditeurs.
Mina a tout pour être heureuse. Présentatrice à la télévision, la quarantaine, elle est belle, riche et habite un appartement cossu dans le quartier aisé de Gangnam. Pour s’adapter aux normes du monde luxueux dans lequel elle vit, Mina n’hésite pas à éliminer tout ce qui la gêne sur son chemin, révélant ainsi une personnalité complexe, traumatisée et criminelle. En déroulant la vie de Mina à l’envers, de la maturité à l’enfance, on découvre les mille tourments d’une femme qui a « tout pour elle ».
Le roman
Lee Hong
Née en 1978, LEE Hong commence très tôt sa carrière d’auteure. À l’âge de dix ans, elle écrit des scénarios de pièces de théâtre. Au collège, elle rédige des lettres d’amour pour le compte de ses amis et trouve sa voie : plus tard elle écrira. La femme de Gangnam, son premier roman traduit en français, met en scène la haute société coréenne, brocardée dans les dramas coréens. à Gangnam, quartier huppé de Séoul et berceau de la K-culture, Lee Hong s’impose dès son premier roman en remportant le Prix de l’Auteur contemporain. Ses écrits, explorant les désirs, tensions et contradictions de la société coréenne, ont été si bien accueillis qu’ils ont inauguré un nouveau genre, le roman de Gangnam. Lee Hong a remporté le Prix Des nouveaux talents de l’Art dans la catégorie littérature et nominée dans la liste finale des Korea Times Awards. Depuis, elle promeut la littérature coréenne à l’international, dirige une agence dédiée aux autrices et coordonne des projets entre la Corée et l’Europe. Lee Hong vit aujourd’hui à Paris, où elle travaille à son prochain roman.
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